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Art'in Press

Stranger Psi: Convention geek de Pia

Dernière mise à jour : 20 déc. 2022

Du 15 au 16 octobre, la salle jean Jaurès de Pia accueillait la Stranger Psi. Une convention mi-geek mi-parapsychologique alimentée par des exposants et créateurs aux univers multiples. Au programme :Blind test, quiz, et concours de cosplay, un mix ingénieux pour raviver la passion des plus grands fans. De Pokémon à Star Wars, en passant par l’univers de SOS fantôme ou le médiéval fantaisiste, tout était réuni pour sublimer ce week-end et attiser la curiosité de tous.



Pousser la porte de Stranger Psi


Arrivé sur les coups de 14 h, c’est un blind test qui animait le devant de la scène. De FairyTail, à la série Arcane, en passant par du Disney, il y en avait pour tous les goûts et tous les styles. De la confrérie Polaris, aux tatoueurs, en passant par la taverne du fond de la salle, même les exposants se prêtaient au jeu.


Parlons justement de ces exposants, une fois l’euphorie du blind test passé, on peut rapidement faire le tour des stands et de la salle.


En rentrant, sur notre droite, la billetterie était tenue par les membres de l’association, le sourire aux lèvres. Près d’eux sur une table bien garnie, des dizaines de lots attendait le résultat de la tombola, des pops et peluches PoppyPlaytime faisaient de l’œil à la plupart des personnes présentes.





Non loin de là, les membres de la Confrérie Polaris étaient regroupé autour de leur stand. Plusieurs sabreslaser étaient exposés sur un présentoir en bois, accompagné d’un bouclier marqué par l’emblème de la confrérie et d’une reproduction d’arme issues de l’univers de Star Wars.


À côté, c’était un stand 100 % Ghostbusters qui faisait miroiter les yeux des fans. Une collection qui s’étendait sur plus de quatre tables et qui regroupait une bonne centaine d’éléments issus de la franchise. Sur la même longueur, deux télévisions raccordées à des consoles invitaient les gens à venir disputer une partie de Smash Bros, Taken ou Mario kart.


Au centre de la pièce, devant la scène, Pii-Ka-Boo tenait son Poke-shop haut en couleur. Des items variés allant des cartes aux figurines en passant par les peluches attiré l’attention, on ne pouvait s’empêcher de s’arrêter et admirer ces petites créatures qui ont bercé une grande partie de notre enfance et bien après.






Et sur le côté droit de la salle, l’univers du tatouage et de la fantaisie nous était ouvert. Des flashs, quelques aiguilles et une table de tatouage et vous pouviez repartir de cette convention avec un souvenir à vie. On reste toujours dans la même thématique avec des books s’ouvrant sur des esquisses fantaisiste issus des univers les plus connus comme DemonSlayer, Naruto, Arcane, Pokémon ou les films d’animation des studios Ghibli.


Avant d’arriver à la taverne, un détour par le stand de Drake Manakete et Emiko. L’un est écrivain l’autre dessinatrice, ensemble ils forment un duo de choc à l’univers merveilleux dont on a qu’une envie : pousser la porte.


Et puis, vient le moment tant attendu, l’arrivée à la taverne où les bières artisanales nous attendent sagement après ce périple et cette traversée d’univers.


Partager et voyager à travers les univers


Pour le concours de cosplay du premier jour, ce sont les univers de Pokémon d’Arcane et de Gambling School qui étaient au rendez-vous. Le jury était composé par deux membres de la Confrérie Polaris et le duo Emiko et Drake Manakete. Chaque cosplayeurs et cosplayeuses défilaient sur scène sur la bande son de leur choix, entre mise en scène et chorégraphie, ils redoublaient d’imagination pour mettre en valeur et incarner au mieux leur personnage.



Après les délibérations, les animations furent lancées, Burger Quizz puis un spectacle chorégraphique tout droit venu des étoiles donné par la Confrérie. Une ambiance bonne enfant, presque intimiste permettait aux exposants de se découvrir les uns les autres et de jouer ensemble.


Au centre de la salle, de nombreuses tables étaient disposées çà et là. Plusieurs jeux de société en libre-service permettaient aux adeptes et aux néophytes de s’initier à tout type de jeux et passer un moment conviviale en famille ou entre amis.


Une aire de combat libre à par la suite était mise en place, chacun pouvait s’exerce au combat à l’épée. De dynamiques duels ont opposé l’écrivain Drake Manakete à des membres de la Confrérie Polaris. Les joutes ont éveillé l’attention de toute la convention, beaucoup de technique, quelques parade et un peu de fourberie ont tirés plusieurs sourires et quelques rires parmi le public.





Au deuxième jour, l’arène s’est transformée en terrain de Trollball. Le Trollball est une discipline sportive issue du milieu médiéval fantastique et du jeu de rôle grandeur nature. Pour ce qui est des règles, le match s’organise et confronte deux équipes. L’objectif principal est de mettre la tête du troll dans le puits du camp adverse. Encore faut-il se débarrasser entre temps de l’équipe adverse armé d’épée en mousse. Chaque joueur a un poste bien défini, trolleur, guérisseur, abatteur ou réserve. Entre mêlé-générale et stratégie d’équipe, ce sport fantaisiste saura tenter tous les curieux.


Un second concours de Cosplay a eu lieu, cette fois-ci, le jury se composait des membres de la DreamTeam Cosplay 66. Cette équipe aux univers variés est connue à Montpellier et dans la région pour donner le sourire aux enfants dans les hôpitaux, le tout en revêtant le costume des plus grands super-héros et personnages de la pop-culture.


Après les délibérations et une ovation pour un bat-man version miniature et une Lara Croft à la longue chevelure, c’est une partie de Loup-garou qui s’est déroulé sur la grande scène. Les nuits se sont succédé rapidement, les corps se sont entassés sous les crocs des loups. Le jeu s’est soldé sur la victoire du loup-blanc qui a décimé tous ses congénères.


Mais pas le temps de nous remettre de nos émotions, voilà déjà les résultats de la tombola du deuxième jour qui tombent. Bières barjola, prints, pops et peluche sont encore au rendez-vous.


Une fin de convention marquée par des ondes féérique médiévales et conviviale, une motivation nécessaire et de belles promesses pour une prochaine édition !


Report et crédit photo Hélène Laval

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